L’idée de base vient d’un style de design inspiré par Picasso. Des zones aux couleurs vives, des lignes épaisses et frétillantes, des distorsions dans un équilibre esthétique précis pour que ce ne soit pas exagéré.
 
Le jeu visuel a donc aussi quelque chose d’afro, qui est renforcé par la peinture sur des planches de bois.
 
Le cadre en plexiglas constitue la fenêtre imaginaire à partir de laquelle les personnages observent ce qui se passe à l’extérieur. Tantôt en contemplation, tantôt en réaction à ce qui se passe sous leurs yeux. Mais quelque part, ils sont retenus, comme par une couche transparente à travers laquelle ils restent inaudibles, lointains et donc partie intégrante d’un fond plus gris. 
Serait-ce la symbolisation visuelle d’un monde que nous vivons depuis la télévision, sans pouvoir intervenir ? Et voulons-nous devenir plus que des spectateurs passifs ?

 
L’idée de base vient d’un style de design inspiré par Picasso. Des zones aux couleurs vives, des lignes épaisses et frétillantes, des distorsions dans un équilibre esthétique précis pour que ce ne soit pas exagéré.
 
Le jeu visuel a donc aussi quelque chose d’afro, qui est renforcé par la peinture sur des planches de bois.
 
Le cadre en plexiglas constitue la fenêtre imaginaire à partir de laquelle les personnages observent ce qui se passe à l’extérieur. Tantôt en contemplation, tantôt en réaction à ce qui se passe sous leurs yeux. Mais quelque part, ils sont retenus, comme par une couche transparente à travers laquelle ils restent inaudibles, lointains et donc partie intégrante d’un fond plus gris. 
Serait-ce la symbolisation visuelle d’un monde que nous vivons depuis la télévision, sans pouvoir intervenir ? Et voulons-nous devenir plus que des spectateurs passifs ?