L’histoire que je cite est la contradiction entre être absorbé dans une fascination détaillée ou voir la plus grande image du monde.

Par expérience personnelle, dans le monde des affaires, entre autres, il s’agit souvent d’une incompréhension entre les spécialistes et la haute direction plus holistique.

Dans cette série, chaque œuvre apparaît d’abord comme une composition abstraite en couleurs. En gros plan, il y a même des détails de couleur autour de chaque carré, comme si c’était le point. Mais si vous vous éloignez suffisamment de quelque chose, un tout plus grand peut devenir visible.

Avec cela comme point de départ, une image figurative est cachée dans la composition, qui n’est visible que de loin (ou au moyen d’un appareil photo de smartphone).

Comme dans la vraie vie, une fois la vue d’ensemble découverte, le spectateur peut soudainement basculer facilement entre les deux vues et donc les appréciations.

Ce concept a été élaboré comme une version numérique du pointillisme. Les petites zones de couleur donnent un effet de pixelisation numérique, l’œil humain fait un mélange de couleurs à distance et voit ainsi la figure.

Avec le plexi brillant, l’ombre portée colorée dans chaque carré et le cadre blanc virtuel, l’œuvre acquiert sa « sensation artistique hi-tech » particulière.